Le « TSAR » est expérimental et à ce titre, je ne puis en livrer que les principes généraux de fonctionnement… Sa structure fait appel à la fibre de carbone pour de nombreux éléments… dont les ailes et la coque externe du fuselage…
Son aile est en flèche négative pour ramener le centrage vers l’avant… car le « Tsar » ne possède pas de moteurs conventionnels et donc, absence de poids à l’arrière… Cet avion est conçu pour utiliser les propriétés d’une matière issue d’une météorite tombée jadis en Amazonie : l’antigravitation, qui supprime l'attraction terrestre (pesanteur) et mieux, peut l'inverser...
Dans les ailes (repliables) de l’appareil et sous son fuselage, sont réparties des plaques de cette matière… qui, sous une excitation électrique, augmentent ou estompent leurs qualités antigravitationnelles et font s’élever ou descendre la machine comme on le ferait avec une montgolfière, en chauffant l'air contenu dans son enveloppe, ou en le laissant se refroidir… En stimulant cette matière "magique" en des points précis, on assure l’équilibre, l’inclinaison, ou la rotation de l'appareil
Le déplacement vers l’avant est assuré par l’exploitation des courants telluriques (courants magnétiques qui circulent comme des veines sous la surface de la Terre)… Ceux-ci sont instables, voire capricieux et l’ordinateur du "TSAR" a fort à faire pour se créer un programme de déplacement constant… Seul bruit étouffé : le ronronnement d’une petite turbine-génératrice à gaz qui fournit l’électricité pour l’excitation de la matière et l’alimentation de l’avionique de bord… L’altitude atteinte est limitée (tout au plus 1.000m) et sa vitesse ne dépasse pas les 500 km/h… Du moins pour l’instant…
Son aile est en flèche négative pour ramener le centrage vers l’avant… car le « Tsar » ne possède pas de moteurs conventionnels et donc, absence de poids à l’arrière… Cet avion est conçu pour utiliser les propriétés d’une matière issue d’une météorite tombée jadis en Amazonie : l’antigravitation, qui supprime l'attraction terrestre (pesanteur) et mieux, peut l'inverser...
Dans les ailes (repliables) de l’appareil et sous son fuselage, sont réparties des plaques de cette matière… qui, sous une excitation électrique, augmentent ou estompent leurs qualités antigravitationnelles et font s’élever ou descendre la machine comme on le ferait avec une montgolfière, en chauffant l'air contenu dans son enveloppe, ou en le laissant se refroidir… En stimulant cette matière "magique" en des points précis, on assure l’équilibre, l’inclinaison, ou la rotation de l'appareil
Le déplacement vers l’avant est assuré par l’exploitation des courants telluriques (courants magnétiques qui circulent comme des veines sous la surface de la Terre)… Ceux-ci sont instables, voire capricieux et l’ordinateur du "TSAR" a fort à faire pour se créer un programme de déplacement constant… Seul bruit étouffé : le ronronnement d’une petite turbine-génératrice à gaz qui fournit l’électricité pour l’excitation de la matière et l’alimentation de l’avionique de bord… L’altitude atteinte est limitée (tout au plus 1.000m) et sa vitesse ne dépasse pas les 500 km/h… Du moins pour l’instant…
Le « TSAR » est un oiseau de proie auquel son silence de fonctionnement et l' émetteur infrarouge implanté dans son « nez » confèrent, dans l’invisibilité de la nuit, des « qualités » qui méritent contrôle d’utilisation… Ils nous a menées, Emilia et moi, dans l’album 24 « Le Septième Code », vers une dangereuse aventure qui nous a donné une raison d’oser, avec le sacrifice total en gage… Mais, en finalité, vers une amitié et une confiance réciproque en un avenir commun !… Nous reverrons le TSAR… On nous doit bien cela en haut lieu !